Encore localement abondantes en France les populations de putois subissent cependant, depuis 1950 environ, un déclin général dont nous ignorons actuellement les causes précises.
Les facilités d’étude des formes domestiques de ce carnivore, furets albinos et putoisés, ont contribué à focaliser sur cette espèce un grand nombre de recherches, tant dans les domaines de la physiologie et de l’éthologie que de la systématique.
Bien qu’acquises essentiellement en conditions de captivité, ces connaissances devraient permettre d’engager plus efficacement des recherches orientées vers la dynamique des populations dont la carence actuelle laisse libre cours à la multiplication des hypothèses explicatives du déclin constaté.
Par son adaptation à la capture des rongeurs et du lapin de garenne, le Putois intéresse au premier plan les services de l’agriculture et de la chasse.
L’objectif à long terme, retenu par ces services, concerne la définition d’un système raisonné de gestion de ses populations. À défaut de proies importantes, il sait se contenter de sauterelles et d’escargots.
Il mesure environ 60 cm de long, dont 20 cm pour la queue.
L’Union Européenne (FEDER) soutient les travaux engagés par la FRC AuRA dans le cadre du CTCB Grand Pilat et du CVB Grand Pilat.
La Région Auvergne-Rhône-Alpes soutient les actions des FDC et de la FRC dans le cadre de la Convention de Partenariat et d’Objectifs (CPO).
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